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Easy Eye Sound présente Something Borrowed, Something New, un album hommage à John Anderson, légende de la musique country. Produit par Dan Auerbach et David Ferguson, cet opus de 13 titres réunit des interprétations remarquables de Nathaniel Rateliff, John Prine, Eric Church, Brent Cobb, Luke Combs, Sierra Ferrell, Ashley McBryde, Brothers Osborne, Sturgill Simpson, Gillian Welch & David Rawlings et plus encore !

Le Black Art Jazz Collective a été fondé en 2012 par Wayne Escoffery et Jeremy Pelt dans le but d'honorer et de préserver l'art de certains des fondateurs du jazz qui les ont inspirés. Et tandis que le groupe rend hommage aux grands du passé, il poursuit également l'évolution de la tradition du jazz avec une oeuvre qui reste fermement ancrée dans le modernisme d'aujourd'hui. De la mélodie rapeuse de Involuntary servitude d'Escoffery au groove de For the kids de Pelt, l'ensemble étend la gamme et le potentiel établis par ses illustres prédécesseurs avec des compositions originales novatrices, des solos qui vont du facile au virtuose dans le but de renouveler dans le paysage jazz d'aujourd'hui.

Dix ans après l'incroyable succès de leur album Hospice et sept ans après Familiar, The Antlers sont de retour. Ce qui distingue peut-être Green to gold du reste de leur discographie, c'est son ensoleillement et sa légèreté. Conçu et écrit presque entièrement le matin, ce disque est sans doute leur production la plus lumineuse à ce jour. Contrairement à leurs derniers albums, le chanteur Peter Silberman a choisi une approche plus directe : documenter deux années de sa vie, sans trop réfléchir ou obscurcir le sujet des chansons. Le résultat est là : d'une beauté et d'une tranquilité renversante, Green to gold est un album pour tous les amoureux d'indie-folk. Dix titres pleins de lumière et d'espoir, mêlant harmonies et guitares rêveuses, pour un album à la fois poétique, mélancolique et étincelant.

Consacré dans les domaines du jazz, de la world et des nouvelles tendances urbaines, le pianiste cubain prouve aujourd'hui qu'il est tout cela à la fois, mais aussi bien plus encore. Yo exprime la diversité de son univers musical, au fil d'une vaste exploration qui puise dans ses racines et fait résonner ses claviers acoustiques et électro en mélangeant grooves rétro-futuristes et rythmes tradi-modernes. Featuring Fatoumata Diawara. Avec 2 titres co-produits par Gilles Peterson.

Le légendaire groupe français de Jazz Fusion fait son grand retour avec son album Unixsity. On retrouve en très grande forme les géniaux Paco Séry (batterie), Michel Alibo (basse), Louis Winsberg (guitare), Jean-Pierre Como (claviers), Alain Debiossat (saxophone) et Stéphane Edouard (percussions) pour un album super inspiré mélangeant Jazz, Funk, World. Les fans ne seront pas déçus. Indispensable.

Le génie du compositeur Stephen Sondheim provient de sa capacité à sonder les émotions humaines, même celles des personnages les plus étranges : barbiers cannibales, assassins présidentiels, sorcières de contes de fées... Cyrille Aimée, chanteuse acclamée, l'a découvert en plongeant dans son répertoire pour cet album étincelant. Ce qui, à l'origine, était la célébration d'un auteur-compositeur légendaire de Broadway, est devenu une oeuvre autobiographique cathartique où les chansons capturent les sentiments personnels les plus profonds de la chanteuse.

Premier album pour le nouveau phénomène US qui bouscule tous les codes de la pop tant par les sonorités de ses titres, sa communication, que son style vestimentaire ou encore son univers visuel.

Après avoir entériné son statut de tête d'affiche du rap français avec son dernier album JVLIVS, plébiscité par le public et couronné d'un disque de platine, SCH entame un virage artistique et franchit un nouveau pallier avec ce projet. Inspiré par l'ascension et la nécessité de se surpasser pour toujours viser plus haut, Rooftop se veut avant-gardiste, sophistiqué et inspire la grandeur. A noter la présence de 6 invités : Capo Plaza, Gims, Heuss l'Enfoiré, Ninho, Rim'k, Soolking.

Ce 9e opus, leur premier en cinq ans, est un retour au rock original et immédiat du chanteur et guitariste Dan Auerbach et du batteur Patrick Carney. Depuis la sortie de Turn blue en 2014, le duo aux six Grammys a été force créative derrière de nombreux artistes comme Yola, Shannon Shaw, Tobias Jesso Jr ou encore Wild Belle, mais c'est lorsqu'ils se retrouvent ensemble que la véritable magie se produit. Let's rock a été écrit et enregistré dans des conditions de live et produit par Auerbach et Carney au studio Easy Eye Sound à Nashville. Décrit par le batteur comme un hommage à la guitare électrique, ils ont adopté pour ce projet une approche primitive et éliminé tout le superflu, comme à leurs débuts...

Ces quatre félidés ont l'art et la manière collective de laisser les libertés individuelles s'exprimer. Cet affranchissement mêlé à ces libertés forme le socle de ces lions, et leur permet de contourner une sphère musicale très étendue et bariolée. S'il fallait nommer cette sphère, elle s'appellerait "transe", la transe apatride que l'on retrouve dans le rock, la musique africaine et indienne, le blues, la musique noise, le jazz, cette énergie qui prend tout son sens chez Des Lions. Chacun apporte sa touche, sa foi, son envie, sa folie, formant ainsi un ensemble musical totalement libre et inventif.

Sur ce deuxième album, le trio de chanson française étoffe son répertoire musical et présente ses textes subtils au fil de douze titres très variés. Swing manouche pour des smartphones chronophages, groove au hip-hop pour dénoncer les relations hypocrites entre politique et industriels, afrobeat et rupture amoureuse ou encore reggae feelgood pour un manifeste du retard...

Avec ce troisième album, "Disparue Juliette", le duo toulousain De Calm continue de regarder droit dans les yeux la pop mélancolique des ainés, tout en remuant une vase singulière qui fait d'eux des outsiders à l'élégance constructive. A l'heure où la notion d'album n'est souvent qu'un prétexte, Guillaume Carayol (écriture et chant) et Mickaël Serrano (composition) veillent au contraire à lui rendre son lustre. Outre le plaisir de bâtir un ensemble où toutes les chansons sont abordées avec un soin équitable, ils envisagent aussi les souterrains qui mènent d'un album à l'autre. Pour eux, faire un album, c'est retrouver un plaisir enfantin même si le vernis a une apparente gravité. Cette réjouissance et l'ironie qui se dégagent de l'ensemble, on peut l'observer dès la pochette avec cet alligator en laisse, à la recherche d'une hypothétique Juliette. De la noirceur apparente des textes se dégage toujours une euphorie colorée qui trouve son équilibre dans les mélodies pop. Cet album n'a qu'une seule vocation : faire du bien.